Traductions de l'anglais ou de l'allemand vers le français
Depuis le texte le plus court, en passant par le
dépliant publicitaire, jusqu'à l'épaisse brochure d'entreprise.
Depuis l'étiquette de sécurité, jusqu'aux catalogue
de produits et aux manuels d'utilisation.
Depuis la simple page web jusqu'au site le plus
compliqué.
Comment choisir un traducteur pour voix-off ?
Bien sûr, voix-off ou pas, assurez-vous tout d’abord que la langue
maternelle de votre traducteur est bien le français. Qui plus est,
sachez que le français se parle et s’écrit différemment selon les pays.
Quel que soit le public auquel votre message s’adresse, une
communication efficace suppose que le communicateur maîtrise les
nuances du langage dans lequel il s’exprime. Ces nuances peuvent varier
considérablement de la France au Canada par exemple.
Comme vous pouvez le constater dans les exemples suivants, destinés
uniquement à une publication écrite, un texte traduit en français à
tendance à être plus long. En général cela importe peu si le support
final reste l’écrit.
Mais la communication audio-visuelle introduit la dimension du temps
dans votre message. Une vidéo de 7 minutes en version originale devra
avoir la même durée de 7 minutes dans la version française, à moins de
disposer d’un budget énorme vous permettant la réalisation complète
d’une vidéo en version française. Dans la plupart des cas, pour des
raisons de coût, vous choisirez de conserver le même support vidéo,
avec les mêmes images défilant à la même vitesse.
Prenons l’exemple d’une vidéo décrivant les mesures de sécurité qu’une
entreprise souhaite étendre au niveau mondial, sur tous les sites où
elle opère. Cette vidéo se compose de différentes séquences, telles que
des prises de vue générales, des plans décrivant de façon détaillée des
modes opératoires appliqués sur des équipements spécifiques, des plans
de personnes parlant directement face à la caméra, etc… Les mêmes
images, se succédant au même rythme, seront utilisées pour la version
française. Le travail d’un traducteur qualifié consistera à produire
une traduction, non seulement linguistiquement correcte, mais aussi
adaptée au support vidéo. Cela signifie, d’une part, que le traducteur
sera capable de raccourcir certains passages, sans en altérer le sens,
pour que leur lecture s’effectue à une cadence normale. Et cela
signifie aussi que le traducteur sera capable de produire un texte dont
la lecture sera synchronisée avec l’image. Cela ne signifie pas
simplement de parler de la clé à molette et du tournevis au moment où
ces outils apparaissent à l’image. Cela signifie aussi que les mots qui
sortent de la bouche d’un personnage apparaissant sur la vidéo semblent
vraiment être articulés par ce personnage. Le flot de paroles devra
donc être synchronisé avec l’image. Un mouvement des lèvres ou même du
doigt, des épaules, du bras, etc… devra se fondre de façon naturelle
avec la bande-son
Tout cela est en grande partie le travail de l’acteur en voix-off, et
des différents techniciens intervenant dans la production finale de la
vidéo. Mais le meilleur acteur et les meilleurs techniciens de studio
n’arriveront qu’à un médiocre résultat si la traduction n’a pas été
préalablement adaptée et calibrée en fonction de la vidéo. Pour cette
raison il est fortement recommandé de fournir au traducteur une copie
de la vidéo originale. À tout le moins, l'indication de durée des
différentes séquences composant la vidéo est un élément d’information
indispensable pour le traducteur.
Dans la recherche du meilleur communicateur, il est donc évident qu’un
fournisseur unique réunissant les qualifications de traducteur
compétent et de voix versatile et convaincante vous rendra la vie plus
facile et vous économisera des sommes substantielles.
Examples de traductions et voix-off
À gauche, la version originale en anglais; à droite la version traduite et enregistrée par nos soinsExemples de traduction
Anglais
What is the Paris Convention?
G-8 Nations Attempt to Surmount Opposition to Debt-Relief Plan
Double bass pickups
Allemand:
Zu Hause und gleichzeitig weg
Original in English |
French translation |
---|---|
What is Disclaimer: This is not legal advice. The Paris Convention is a treaty, adhered to by about 110 countries, which helps those who wish to obtain patent protection in more than one country. To illustrate how the treaty helps an applicant, consider the inventor who desires to apply for patent protection in countries A and B (both of which adhere to the Paris Convention). If there were no Paris Convention, then for the best chances of obtaining a patent in both countries, the inventor would have to file in both countries simultaneously or nearly simultaneously because the publication of the patent in country A would bar filing a patent application in country B. Because of the Convention, however, the inventor need only file in one of the two countries, say country A, and may postpone filing in country B for almost a year. When the filing is done in country B the applicant merely "claims priority" from the filing in country A, and the patent office in country B will treat the country-B application as if it had been filed on the date in which the country-A application was filed. The Paris Convention is thus very helpful to inventors, for several reasons: 1. Filing in many countries costs a lot of money. The Paris Convention allows the inventor to defer that cost. What's more, if events during the year lead to a decision to abandon the attempt to get patents, then the Paris Convention allows the inventor to save all the money that would have been spent in the countries other than the first country. 2. Filing in many countries is often time consuming and involved. Often the text of the patent application has to be translated into several languages. It is necessary to engage in correspondence with patent agents or attorneys in each of the countries involved. In the absence of the Paris Convention, an inventor would have to do these things in a hurry, in many countries at once, necessitating large courier bills, lots of faxes, and lots of rush translations. The Paris Convention allows the translating and international correspondence to be undertaken over the course of a year rather than all at once. Return to the Oppedahl & Larson LLP Patent Law home page. (Note: The English text is reproduced with the authorization of Oppedahl & Larson LLP. Please check the link http://www.oppedahl.com/patents/#paris for current updates to this text.) |
Qu’est-ce que Avertissement: Cet article ne constitue pas un avis juridique. La Convention de Paris est un traité, auquel adhèrent environ 110 pays, qui vient en aide à ceux qui souhaitent obtenir la protection d’un brevet au-delà d’un seul pays. Pour illustrer comment le traité aide un candidat, considérons le cas d’un inventeur qui désire faire une demande de protection d’un brevet dans les pays A et B (tous les deux adhérents à la Convention de Paris). Si la Convention de Paris n’existait pas, l’inventeur soucieux de mettre de son côté les meilleures chances d’obtenir un brevet dans les deux pays devrait déposer une demande dans les deux pays simultanément ou quasi-simultanément, car la publication du brevet dans le pays A empêcherait une demande de brevet dans le pays B. Grâce à la convention, cependant, l’inventeur n’a besoin de déposer sa demande que dans un seul pays, par exemple le pays A, et dispose d’un délai de presque un an pour faire un dépôt de demande dans le pays B. Lors du dépôt de la demande dans le pays B, il suffit au candidat de «revendiquer la priorité» de la demande antérieure déposée dans le pays A, et l’office des brevets dans le pays B traitera la demande concernant le pays B comme si elle avait été déposée à la date à laquelle la demande dans le pays A a été déposée. La Convention de Paris est donc très utile aux inventeurs, et ce pour plusieurs raisons : 1. Le dépôt de demande dans plusieurs pays est très coûteux. La Convention de Paris autorise l’inventeur à différer le paiement y afférant. De plus, si des évènements surviennent en cours d’année, conduisant à la décision d’abandonner toute tentative d’obtention de brevets, la Convention de Paris permet alors à l’inventeur d’économiser l’argent qui aurait été dépensé dans les pays autres que le premier pays. 2. Le dépôt de la demande dans plusieurs pays implique souvent une grande dépense de temps et d’énergie. Maintes fois, le texte de la demande de brevet doit être traduit dans plusieurs langues. Un échange de correspondance avec les agents de brevets ou avocats dans chacun des pays partie prenante est indispensable. En l’absence de la Convention de Paris, un inventeur serait dans l’obligation d’accomplir ces tâches à la hâte, dans plusieurs pays à la fois, générant des frais de courrier importants, une pléthore de fax, et de nombreuses traductions urgentes. La Convention de Paris permet d’étaler l’échange de correspondance internationale et le travail de traduction sur toute l’année au lieu d’avoir à réaliser ces tâches en un court laps de temps. Retourner à la page d’accueil de Oppedahl & Larson LLP sur le droit des brevets. (NB: Le texte anglais reproduit ici avec l'autorisation de Oppedahl & Larson LLP se trouve en cliquant sur le lien suivant : http://www.oppedahl.com/patents/#paris. Si besoin, reportez-vous à ce lien pour la version anglaise mise à jour.) |
G-8 Nations Attempt By MICHAEL M. PHILLIPS WASHINGTON -- The world's industrial powers worked to overcome opposition to their plan to forgive as much as $56 billion in debts owed by poor nations -- a deal the Group of Eight countries thought they had sealed months ago. Top G-8 economic officials have been surprised by the skepticism the debt-relief plan has generated among smaller industrialized nations and developing countries, which fear that the benefits will be distributed unfairly. The small nations also worry that forgiving the World Bank and International Monetary Fund loans will leave those international lenders drained of resources that might otherwise be used to help needy countries in the future. The debt-relief deal is "on a knife edge," British Chancellor of the Exchequer Gordon Brown, a main author of the plan, said ahead of a weekend of economic meetings in Washington. President Bush, Russian President Vladimir Putin and their counterparts from Britain, France, Japan, Germany, Italy and Canada endorsed the proposal at a Group of Eight summit in July -- a consensus of the powerful that normally would make it a done deal. But the Netherlands, Belgium and some other governments have been unwilling to accede to G-8 demands and are in a position to jointly block the G-8. It is only a good proposal "if it really leads to additional funds for poor countries," said Jeroen Kremers, who represents the Netherlands, Armenia and 10 other nations on the IMF executive board. The skeptical governments apparently don't trust the U.S., in particular, to keep its promise to replenish IMF and World Bank funds once the lenders -- the world's premier sources of official funding for poor nations -- have forgiven billions of dollars in outstanding loans. Antipoverty activists hoped that negotiators would reach an agreement this weekend, but while they have made progress in several areas, a final accord remained elusive Friday. "There's growing confidence, but we aren't there," said Tony Fratto, a spokesman for the Treasury Department. The G-8 ministers Friday signed a letter promising to make up for any lost income to the World Bank from the debt-relief plan. The G-8 plan would write off $40 billion in debts owed to the IMF and World Bank by 18 highly indebted poor countries, plus as much as $16 billion more from 20 other nations. The Dutch and some other governments argued that it was unfair to use IMF resources to subsidize countries that had run up huge debts, while doing nothing for nations that were equally poor but had better managed their borrowing. One compromise that has emerged would peg debt relief to income, not debt levels. For example, any country with an annual per capita income of, say, $380, would qualify for relief, regardless of how much debt it had. Countries with higher income levels wouldn't qualify. The finance ministers from the Group of Seven -- the G-8 minus Russia -- met Friday afternoon and focused much of their attention on lopsided global economic progress and rising oil prices. They were scheduled to release a statement on the talks Friday night. The Bush administration came into the talks eager to persuade European nations to adopt labor-market and other reforms that might spark growth, while the Europeans were troubled by rising Iraq- and hurricane-fueled U.S. budget deficits. "To maintain sustainable growth -- and advance the goal of reducing poverty around the world -- we simply must see more domestic demand-led growth from other parts of the world," said Treasury Secretary John Snow. In addition, Mr. Snow intensified an uphill campaign to redistribute votes among the IMF's 184 member nations. Mr. Snow's top international diplomat, Timothy Adams, told an audience of economists Friday that Asia's growing economic strength meant that it should have more votes on the IMF board -- an increase that would certainly come at Europe's expense and encounter European resistance. Copyright © 2005 Dow Jones & Company, Inc. All Rights Reserved. |
La tentative des pays du G8 de contrer l'opposition au plan d'annulation de la dette Par MICHAEL M. PHILLIPS WASHINGTON - Les grandes puissances industrielles mondiales se sont efforcées de battre en brèche l'opposition à leur plan d'annuler jusqu'à 56 milliards de dollars dus par les pays pauvres - un accord que le Groupe des Huit considérait comme acquis après sa signature il y a quelques mois. Les principaux responsables économiques du G8 ont été surpris de l'accueil sceptique réservé au plan d'annulation de la dette par les petits pays industrialisés et les pays en voie développement, qui craignent une répartition non équitable des ses bénéfices. Les petits pays craignent également que l'annulation des prêts consentis par la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International prive ces prêteurs internationaux de ressources qui pourraient sinon être utilisées dans le futur pour aider les pays dans le besoin. L'accord sur l'annulation de la dette est maintenant « sur le fil du rasoir », déclarait Gordon Brown, Chancelier de l'Échiquier et l'un des principaux architectes du plan, en prélude à un week-end de rencontres économiques à Washington. Le président Bush, le président russe Vladimir Poutine, et leurs homologues en Grande-Bretagne, France, Japon, Allemagne, Italie et Canada, ont donné leur accord au plan proposé lors d'un sommet du Groupe des Huit en juillet - un consensus des puissants suffisant normalement pour en garantir l'application. Mais les Pays-Bas, la Belgique, et quelques autres gouvernements se sont montrés peu enclins à accéder aux demandes du G8 et sont en position d'en bloquer la mécanique par leur action conjointe. C'est un bonne proposition, mais seulement « si cela conduit réellement à un accroissement des moyens de financement pour les pays pauvres », a déclaré Jeroen Kremers, le représentant des Pays-Bas, de l'Arménie, et 10 autres pays au conseil exécutif du FMI. Les gouvernements sceptiques ne croient apparemment pas que les États-Unis, en particulier, tiendront leur promesse de renouveler les fonds du FMI et de la Banque Mondiale, une fois que les prêteurs - les premières sources de financement officiel pour les pays pauvres - auront annulés des prêts en cours se chiffrant en milliards de dollars. Les activistes anti-pauvreté espéraient que les négociateurs concluraient un accord ce week-end, mais, bien que des progrès aient été fait dans de nombreux domaines, un accord final se faisait encore attendre vendredi. « Le niveau de confiance s'accroît, mais nous ne sommes pas encore au bout de nos peines » déclarait Tony Fratto, un porte parole du Trésor américain. Vendredi, les ministres des pays du G8 ont signé une lettre promettant de rembourser la Banque Mondiale pour toute perte de revenu survenue du fait du plan d'annulation de la dette. Le G8 annulerait 40 milliards de dollars de dette due au FMI et à la Banque Mondiale par 18 pays pauvres fortement endettés, ainsi que 16 milliards de dollars de quelques 20 autres nations. Le gouvernement hollandais et quelques autres gouvernements ont fait valoir qu'il n'était pas juste de mobiliser les ressources du FMI pour subventionner les pays qui ont accumulé des déficits énormes, alors que dans le même temps rien n'est fait pour des pays tout aussi pauvres mais ayant géré leur dette de façon plus rigoureuse. L'un des compromis qui s'est dessiné consisterait à faire dépendre l'annulation de la dette non plus du niveau de celle-ci, mais du niveau de revenu. Ainsi, un pays ayant par exemple un revenu annuel par tête de 380 dollars, aurait droit à une annulation de sa dette, quelqu'en soit le montant. Les pays avec un revenu plus élevé en seraient exclus. Les ministres des finances du Groupe des Sept - le Groupe des Huit moins la Russie - se sont rencontrés vendredi après-midi et ont concentré l'essentiel de leur attention sur les dysfonctionnements en matière de progrès économique global et de hausse des prix du pétrole. Une déclaration sur ces discussions était prévue pour vendredi soir. L'administration Bush arriva à la conférence avec la volonté affichée de persuader les pays européens d'adopter des réformes de nature à générer la croissance, en particulier en matière de marché et du travail et de l'accès aux différents marchés et autres réformes, pendant que les européens se montraient préoccupés par la croissance des déficits du budget américain amplifiés par les dépenses occasionnées par la guerre en Irak et les récents ouragans. « Si nous voulons maintenir une croissance continue - et progresser sur la voie de la réduction de la pauvreté dans le monde - nous avons besoin de davantage de croissance générée par la demande locale dans d'autres parties du monde », a déclaré John Snow, le secrétaire américain au Trésor. En outre, M. Snow a intensifié une campagne difficile de redistribution des voix au sein des 184 pays membres du FMI. L'adjoint de M. Snow chargé des affaires internationales, Timothy Adams, déclarait vendredi devant un parterre d'économistes que la force économique croissante de l'Asie devrait aller de pair avec un nombre accru de voix au conseil du FMI - un accroissement qui se ferait certainement aux dépens de l'Europe, et devrait rencontrer la résistance des européens. |
Double bass pickups The transducers for our double bass pickups are mounted within a precision-made maple graft (two transducers per string), which is integrated into the in the back face of the bridge beneath the strings. The Multi Transducer bridges are made custom to match each upright bass's particular setup. The system senses from three perspectives simultaneously. Each string's vertical and horizontal vibrations are sensed individually, as well as the overall lateral twisting motion of the bridge. Vertical sensitivity to each string provides clarity, balance and sustain for pizzicato. Horizontal sensitivity to each string provides for precise articulation of attack for pizzicato and a rich, natural arco response that is dynamically in balance with the pizzicato. Sensitivity to lateral-twisting bridge motion, provides depth and tonal interaction with the instrument top. This multi-dimensional sensitivity provides exceptional clarity, tone and power. Some advantages of an integrated into the bridge, all maple double bass pickups include: * All maple construction for
tonal compatibility with the bridge and the instrument. Non-microphonic sensitivity. This provides a natural, high resistance to feedback without fingerboard noise or distant ringy edge to the sound, and without sound bleed from drums or other nearby noise sources. * No hardware clamped, stuck or
wedged into or under the bridge. Our multi-transducer bridges are not mass-produced. In the process of crafting, each bridge receives considerable individual attention. BTS multi-transducer bridges are available in various models for electric violins and cellos and in kit form for the conversion of acoustic violins into pro level acoustic-electric violins. (Note: The English text is
reproduced with the authorization of Barbera Transducer Systems |
Capteurs pour contrebasse Les transducteurs de nos capteurs pour contrebasse sont montés à l'intérieur d'une pièce en érable de haute précision (deux transducteurs par corde), intégrée dans la face arrière du chevalet juste en dessous des cordes. Les chevalets multi transducteurs sont fabriqués à la demande et sur mesure pour répondre aux spécificités de chaque contrebasse. Le système capte simultanément trois sortes d'informations acoustiques. Les vibrations verticales autant qu'horizontales de chaque corde sont captées individuellement, ainsi que le mouvement de torsion du chevalet. La sensibilité verticale pour chaque corde assure la clarté, l'équilibre et la durée de résonance de la note dans le jeu en pizzicato. La sensibilité horizontale pour chaque corde assure un rendu précis de l'articulation et de l'attaque en pizzicato, ainsi qu'une réponse riche et naturelle à l'archet, en équilibre dynamique avec le pizzicato. La sensibilité au mouvement de torsion latérale du chevalet restitue la profondeur et l'interaction sonore avec la table d'harmonie. La sensibilité multidimensionnelle garantit une clarté, une qualité et une amplitude de son exceptionnelles. Quelques avantages des capteurs pour contrebasse en érable, intégrés au chevalet: * Fabrication en érable massif
pour la compatibilité sonore avec le chevalet et l'instrument. Sensibilité non microphonique. Ceci assure une grande résistance naturelle au larsen, un son dépourvu de bruits de touche indésirables et sans coloration métallique, et évite de capter les autres sons environnants, tels qu'une batterie par exemple. * Pas d'équipement accessoire
attaché, collé, ou coincé dans ou sous le chevalet. Nos chevalets multi transducteurs ne sont pas produits en masse. Tout au long du processus de fabrication, chaque chevalet reçoit un soin attentif individuel. Les chevalets multi transducteurs BTS sont disponibles en différents modèles pour violons électriques et violoncelles et sous forme de kit permettant la transformation de violons acoustiques en violons électro-acoustiques professionnels. (NB: Le texte anglais est reproduit ici avec l'autorisation de Barbera Transducer Systems copyright 2003 Barbera Transducer Systems, all rights reserved.) |
Original in German |
French translation |
Eine Rezension von Friedrich Schimmel „Zu Hause Michel
Würthle: Paris Bar Berlin Wer in diesem opulent gestalteten Buch blättert und liest, Fotos und Reproduktionen betrachtet, fühlt sich bald in eine andere Welt versetzt. Auch wer noch nie drinnen war, ist plötzlich inmitten der Paris Bar. Ein mythischer Ort in der Kantstraße. Berühmt, bekannt, beliebt. Tischreihen, Spiegel, schwarz-weiß gefliester Boden, Bilder über Bilder. Und Menschen aus aller Welt und aus Berlin. Es ist immer was los. Begonnen hat es schon nach dem Krieg, dann war mal Flaute, bis Ende der siebziger Jahre Wiener Künstler und Autoren die Paris Bar entdeckten. Der Wirt der Paris Bar, Michel Würthle, sammelt Kunst, die er in diesen Räumen aufgehängt hat, zeichnet selbst und ist ein heiterer Mann mit großen geselligen Talenten. Auch zu diesem Buch hatte der Wirt eingeladen. Eine Art Gästebuch ist entstanden, Erinnerungen, Stimmen, Bilder: Der Maler Sigmar Polke nennt Würthle „die sprechende Mozartkugel“, der Soziologe Eckart Britsch lobt den „völlig unbekannten Gastronomentyp, mit dem in mindestens vier Sprachen über die übliche Verdauungsrhetorik hinaus eine interessante Debatte geführt werden kann: natürlich über Malerei, Literatur und Film, aber auch über gestreifte Eichhörnchen, schwarze Balken vor den Geschlechtsteilen oder die Vorteile der slowenischen Armenküche“. Die Paris Bar, ein Ort in Berlin, „wo das Leben seit jeher Zuflucht sucht, um sich in Ruhe der Kraft zu versichern, die es so dringend benötigt. Wo der Mühelose Zeit findet für seine Elementarbeschäftigung, das Nichtstun“ (Eckart Nickel). Auch den Modemacher Wolfgang Joop zieht es regelmäßig (aus New York über Potsdam kommend) an diesen Ort, dort tanzt er Silvester mit seinen Models, liebt „dazu die kosmopolitisch-berlinerische Atmosphäre, die echte, ungestörte Patina an Wänden, Gemälden, Kunstwerken und im Gesicht des Stammgastes Otto Sander, dessen eigene Ecke an der Bar mittels Messingschild permanent reserviert ist, geben mir das Gefühl, zu Hause und gleichzeitig weit weg zu sein“. Lob über Lob, Laune und Lust, Vergnügen und hier und da auch ein bißchen Inszenierung, wenn jemand danach zumute ist. Zwischendurch Gespräche mit dem Besitzer. Michel Würthles Konzept klingt gut: „Wir erfanden ein neues Refugium, aber nicht für Gleichgesinnte, sondern für Leute, bei denen ein Blick genügt, eine Geste und die Art, wie sie sich setzen, um festzustellen, daß man eine Ähnlichkeit der Auffassung besitzen könnte.“ Das ist eine wichtige Kunst, hier scheint sie immer zu gelingen. Ein leuchtender Gegenpol zur Berliner „Stehkneipenbierseligkeit“. Der Maler Bernd Koberling meint: „Ich kenne kein Lokal in der Stadt, wo an einem turbulenten Abend eine so seltsame Mischung aus Hochintelligenten und Dummköpfen, Langweilern und Exzentrikern, plakativen und stillen Schönheiten, Eleganten und Plumpen, wachen und toten Augen, eitlen Giganten und eitlen Zwergen ein anonymes Treffen veranstaltet.“ Ein Ort auch für Leser, für Genießer jeder Art, Betrachtsame und Selbst-Schauspieler. Sehen und sich zur Schau stellen. Dieser farbige und auch mitunter schrille Band gibt Einblicke in den wechselreichen Restaurant- und Bar-Haushalt. Mythische Orte sind Kristallisationspunkte. Mancher kommt nur wegen der Paris Bar nach Berlin. Das Wahrzeichen von Berlin? fragt der Sammler Heinz Berggruen. Natürlich die „wache, wilde, rund um die Uhr summende, schimmernde, tosende Paris Bar“. Auch Politiker kommen hierher, an einen Ort, an dem „es lediglich durch eine unerklärliche Vitalität manchmal zum Äußersten kommt“. Bleibt nur ein Rat zum Schluß, hingehen. Die rote Neonschrift der Paris Bar in der Kantstraße ist nicht zu übersehen. Berliner LeseZeichen, Ausgabe
08/01 (Internetausgabe) (c) Edition Luisenstadt, 2001
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Une critique de Friedrich Schimmel « Chez
soi Michel
Würthle: Paris Bar Berlin Celui qui feuillète et lit ce livre somptueux, regarde les photos et reproductions qu’il contient, se sent bientôt transporté dans un autre monde. Et même celui qui n’y est encore jamais allé, se retrouve soudain en plein milieu du Paris Bar. Un lieu mythique de la Kantstrasse. Célèbre, célébré, préféré. Des rangées de tables, des miroirs, le sol à carreaux noirs et blancs, et des tableaux, des tableaux... Et des hommes, des femmes, du monde entier et de Berlin. Il s’y passe toujours quelque chose. Cela commença juste après la guerre. Puis ce fut le calme plat, jusqu’à la découverte du Paris Bar par des artistes et écrivains viennois à la fin des années soixante-dix. Le patron du Paris Bar, Michel Würthle, un homme chaleureux qui excelle dans l'art de la convivialité, dessine lui même à ses heures et collectionne les tableaux, qu’il accroche aux murs de son établissement. Le patron lança des invitations, cette fois pour ce livre. C’est ainsi que naquit cette sorte de livre d’or, des souvenirs, des voix, des photos : Le peintre Sigmar Polke appelle Würthle « le Mozartkugel parlant » [le Mozartkugel étant une spécialité de Salzbourg en forme de boule, en chocolat et massepain - NdT] ; le sociologue Eckart Britsch vante les mérites d’un obscur expert es gastronomie, avec lequel on peut s’entretenir dans au moins quatre différentes langues sur des thèmes dépassant largement l’horizon habituel de la rhétorique digestive : bien sûr au sujet de la peinture, de la littérature et du cinéma, mais aussi au sujet d’écureuils rayés, de rectangles noirs masquant les parties génitales, ou des avantages de la soupe populaire slovène. Le Paris Bar, un endroit à Berlin « où la vie vient depuis toujours chercher refuge pour reconstituer tranquillement des forces dont elle a un besoin impérieux. Où le dilettante trouve le temps pour son occupation élémentaire, l’oisiveté ». (Eckart Nickel). Il y a aussi le créateur de mode Wolfgang Joop qui vient régulièrement y faire un tour (venant de New York, en passant par Potsdam) ; c’est ici qu’il passe la Saint Sylvestre dansant avec ses modèles. Il adore « avec ça l’atmosphère cosmopolito-berlinoise, la patine authentique et originelle lentement déposée sur les murs, tableaux, objets d’art et jusque sur le visage d’Otto Sander, habitué du lieu dont la place attitrée au bar est réservée de façon permanente par une plaquette de bronze ; tout cela me donne le sentiment d’être chez moi et en même temps si loin d’ici. » Les compliments s’y ramassent à la pelle, humeurs, désirs, plaisirs aussi et, pour qui s’en sent le courage, un soupçon de mise en scène. Et entre-temps discussion avec le propriétaire. L’idée de Michel Würthle est séduisante : « Nous avons trouvé un nouveau refuge, non pas pour les gens du même bord, mais pour les gens à qui il suffit d’un regard, d’un geste, d’une façon de s’asseoir, pour s’assurer qu’on a la même façon de voir les choses. » Un art précieux qui semble s’épanouir au mieux dans ces lieux. En somme, le contraire lumineux de la béatitude du bar à bière berlinois. Le peintre Bernd Koberling explique: « Je ne connais pas d’autre café dans cette ville qui offre, lors de l’une de ces soirées turbulentes, le spectacle d’un si curieux mélange d’esprits brillants et d’imbéciles, de raseurs et d’excentriques, de beautés tapageuses ou paisibles, d’élégants et de lourdauds, d’yeux vifs et de regards morts, de vains géants et de vains nains. » C’est aussi un lieu pour lecteurs, épicuriens de tout acabit, penseurs méditatifs, et acteurs de leur propre rôle. Voir et se donner à voir. Ce volume coloré, parfois jusqu’au criard, nous permet de jeter un regard intime sur la famille chatoyante du restaurant-bar. Les lieux mythiques sont des nœuds de cristallisation. Ils ne sont pas rares ceux qui viennent à Berlin seulement pour le Paris Bar. L’emblème de Berlin ? demande le collectionneur Heinz Berggruen. Bien sûr le Paris Bar, « éveillé, sauvage, bourdonnant d’activité à toute heure du jour ou de la nuit, comme une ruche chatoyante et débridée. » Les acteurs de la vie politique se rendent aussi dans ce lieu, où « une vitalité inexplicable suffit parfois à vous amener au fond des choses. » On ne peut que terminer par un conseil : « Allez-y ! » On ne peut pas manquer l’enseigne au néon rouge du Paris Bar, dans la Kantstrasse. Berliner LeseZeichen, Numéro
d’août 2001 (version Internet) (c) Edition Luisenstadt, 2001 |